News
-
In the miX with - Kim Lizotte
Jeune, belle, intelligente et incroyablement drôle… Ces quelques mots suffisent à eux seuls à dresser un portrait authentique de Kim Lizotte, l’une des étoiles montantes de la comédie québécoise. Depuis 2009, cette artiste engagée parcourt les scènes et les plateaux pour partager sa vision de la société, du genre humain et de la vie en général, le tout à travers un humour satirique et enflammé qui emballe complètement les spectateurs.
Kim Lizotte est une comédienne passionnée et critique originaire du Québec. Elle fait son entrée sur la scène de la comédie québécoise à partir de 2009, année à laquelle elle sort de l’École Nationale de l’humour. Trépidante et débordant d’énergie, elle s’empressa de conquérir l’univers du showbiz juste après l’obtention de son « diplôme d’humoriste ». Elle multiplia ainsi les apparitions sur les plateaux de télévision et sur les scènes de spectacle. La jeune femme, qui se définit comme une comédienne engagée, mise sur l’humour pour changer les codes et éveiller les consciences de la société québécoise.
C’est au gala « Juste pour rire » de Laurent Paquin que Kim Lizotte va véritablement marquer le public pour la première fois. Auteure d’une belle prestation, la comédienne est tout de suite adoptée par la critique et les premiers éloges ne tardèrent pas. Après cet épisode, elle enchaine les sorties réussies et joue notamment dans le télé documentaire « Les 5 prochains », dans l’émission « Un gars, le soir », et est même choisie pour animer une chronique humoristique et décapante dans le très réputé magazine FA. Elle tient également un poste de scripteur dans deux émissions phares, « Et si » et « Les Détestables », ce qui lui ouvrira les portes d’un public plus large et permettra de la faire connaitre au-delà du cercle fermé de la scène humoristique.
En 2012, Kim Lizotte fait son grand come-back sur la scène de la comédie. Elle prend part au festival Zoofest où elle se produit dans un One Man Show dénommé « 60 minutes avec Kim Lizotte », un spectacle solo qu’elle exécute pendant six soirées consécutives. Là encore, la jeune femme étale tout son talent et fait l’unanimité au sein du public et de la critique qui saluent sa remarquable prestation. La même année, le succès lui sourit à nouveau après sa brillante performance dans un spectacle du gala « Juste pour rire », dans lequel elle joue aux côtés d’Étienne Dano et du très célèbre Louis T (Louis Tremblay).
À l’automne 2012, après une apparition remarquée dans l’émission « Selon l’opinion comique », Kim Lizotte s’embarque pour une nouvelle aventure humoristique avec Louis T. Les deux comédiens composent et co-présentent le numéro « Kim Lizotte Vs Louis T », un mélange d’humour et d’humeur qui traite de l’actualité sociale sur fond d’autodérision. De plus, elle anime un blog sur le site Urbania, l’une des plateformes les plus visitées de tout le Québec. Ce n’est pas tout, l’artiste chevronnée tient également une chronique dans le très prestigieux « Journal de Montréal ». Preuve que Kim Lizotte a vraiment du talent à revendre...
Kim Lizotte, une québécoise reconnu internationalement pour sa différence!
-
In the miX with - Sugar Sammy
Samir Khullar, alias Sugar Sammy, est décidément en passe de devenir le Jamel Debouzze du Canada. À seulement 38 ans, cet humoriste et auteur du Québec qui a une origine indienne a un palmarès des plus prestigieux. C’est un talent pur, dont l’ascension aussi fulgurante qu’impressionnante sur la scène de la comédie canadienne et internationale suscite admiration et enchantement. Retour sur le parcours élogieux de ce grand amoureux de l’autodérision.
Sugar Sammy nait le 29 février 1976 à Montréal. Il grandit et fait sa scolarité à Côte-des-Neiges, un quartier québécois où de nombreuses ethnies se côtoient quotidiennement. Cet environnement cosmopolite va grandement l’influencer, lui qui a été éduqué selon la culture indienne et qui parle couramment le hindi et le punjabi. Au collège, il révèle un grand intérêt pour l’art, l’humour et la comédie en général. Le film « Delirious », dont le rôle principal est interprété par Eddy Murphy va le pousser définitivement vers la comédie. À 17 ans, il commence à s’illustrer sur de petites scènes et se produit notamment au Comedy Zone et au Comedy Works. L’humoriste qui parle alors couramment l’anglais, le français, le hindi et le punjabi fonde son art sur l’autodérision à travers des sujets très délicats que sont le racisme, l’appartenance ethnique et l’intégration des nouveaux arrivants.
Dans les années 2000, Sugar Sammy est encore un humoriste parmi tant d’autres, et donc un grand inconnu dans la ville de Québec. Il s’essaie sur plusieurs scènes anglophones au Canada et à l’international, et réalise même la première partie d’un show de Dave Chappelle. Mais c’est en septembre 2009, avec la signature d’un accord de représentation avec The Gersh Agency, que sa carrière va prendre un tournant décisif. Il éblouit toutes les scènes sur lesquelles il passe, enchainant succès après succès, et est surnommé « la nouvelle rock star de l’humour » avant d’être désigné l’ « un des 10 talents en humour à surveiller à travers le monde ».
Après ce véritable plébiscite, Sugar Sammy enchaine les succès. Il est invité à se produire aux quatre coins du monde, en Angleterre, aux États-Unis, aux Philippines, en Arabie Saoudite et en Afrique du Sud. Au total, il va parcourir 30 pays et donner 1 000 représentations, et il fait les gros titres de toutes les revues de son Québec natal. Il devient une véritable icône de la scène humoristique canadienne en remportant de nombreuses récompenses. En 2009, il gagne le prix Best Comedian du COCA (Canadian Organization for College Activities) et le prix Découverte Francophone du Festival Juste Pour Rire. L’année suivante, il remporte à nouveau le prix Best Comedian, ainsi que le Prix Umayya d’ambassadeur et rayonnement, le Prix québécois de la citoyenneté et le prix Best Comedian du Montreal Mirror.
En 2013 et 2014, il remporte le prix « Olivier de l’année » à trois reprises. Avec ses deux spectacles phares en One Man Show, à savoir « You’re gonna rire » et « En français SVP », il séduit à la fois le public anglophone et francophone, ce qui confortera sa notoriété dans l’ensemble du pays. En 2013, le Comedy Central India lui fait appel pour une tournée dans toute l’Inde, et en 2014, la revue Billboard Magazine désigne sa tournée comme l’une des plus lucratives. Aujourd’hui, Sugar Sammy a tout de l’enfant prodige de la comédie québécoise, et le moins qu’on puisse dire, c’est que sa success story ne fait que commencer.
-
In the miX with - Elizabetta Fantone
C’est au Canada, dans la charmante ville de Montréal, que la talentueuse Elisabetta Fantone vit le jour. Il ne fallut pas longtemps à la jeune fille pour rejoindre l’Italie, son pays d’origine, où elle passa une partie de son enfance. C’est dans cet univers riche en histoire qu’elle découvre son engouement pour l’art et la scène, et bien sûr pour les pasta italiennes. La jeune fille, âgée de 5 ans à l'époque, prenait beaucoup de plaisir à se déguiser et à imiter différents personnages de séries. Cependant, ce n’est que 10 ans plus tard qu’elle eut l’opportunité d’interpréter son premier rôle. « Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années », dit-on. C’est ainsi qu’au terme de cette interprétation, Elisabetta se vit offrir le prix de la meilleure performance. Un prix qui lui donna encore plus envie de se lancer dans une carrière d’actrice.
Avec la grande soif d’apprendre qui l’animait, elle s’inscrivit en cours de danse, de chant et d’art dramatique afin de parfaire ses compétences. Parallèlement, elle étudie l’art créatif au collège et obtient un diplôme en design intérieur à la fin de son cursus. Les divers ateliers, de même que les cours d’allemand et d’espagnol qu’elle suivit par la suite lui seront d’une grande utilité pour sa future carrière. Avec tout ça, on se demande bien si elle trouvait le temps de s’amuser.
C’est en 2006, dans la célèbre émission française « Loft Story », que la charmante jeune femme fut découverte par le grand public. Bien évidemment, elle fut immédiatement adoptée par ce dernier. Cependant, son envie d’aller encore plus loin l’amena à déménager de Montréal pour poursuivre son aventure dans la superbe cité de Miami. C’est dans cette ville à l’allure à la fois rurale et urbaine que commence le véritable parcours d’Elisabetta. En effet, elle enchaina les rôles, s’intégrant très bien dans tous les personnages qu’elle devait jouer. « Blue Montain », « Nicky Deuce », « The Glades », « The Secret of the Mountain » ou encore « The Arrangement » sont quelques-uns des nombreux films et téléfilms dans lesquels elle joua un rôle. La jeune femme eut également la chance de décrocher le premier rôle dans « My Name is Sandy », un long métrage réalisé par le jeune Marco Lammatteo et présenté au célèbre Festival de Cannes. Dans « Ces gars-là », une comédie dramatique québécoise, Elisabetta Fantone fut également aperçu récemment.
En obtenant un rôle dans le film « Big Eyes » du célèbre cinéaste Tim Burton, l’actrice québécoise a réalisé l’un de ses plus grands rêves, c'est-à-dire être dirigée par son idole. La sortie de ce drame biographique est prévue pour 2014, et on attend de voir si Elisabetta sera une fois de plus à la hauteur de son talent. Hormis ses penchants pour le monde du cinéma et de la télévision, la jeune femme est également très passionnée par la peinture. Aux États-Unis, en Europe comme au Canada, pays dans lequel elle a vu le jour, Elisabetta expose ses différentes toiles qui sont d’ailleurs très appréciées par de nombreuses célébrités. En effet, elle a déjà eu à peindre pour Céline Dion, les sœurs Kadarshian, Larry Walker, Muhammad Ali, pour ne citer que ceux-là. Plus d’une centaine de toiles ont déjà été répertoriées à son actif jusque-là.
Si certains pensent en avoir fini avec cette peintre et actrice de renom, détrompez-vous. En effet, le mannequinat est un autre domaine où brille Elisabetta Fantone. Si vous êtes abonné ou que vous lisez les magazines tels que Sharp & UMM ou Men’s Fitness, vous avez surement dû la voir récemment. Les nombreuses campagnes publicitaires auxquelles elle participe pour P & G, Heineken, Sony, etc. démontrent aussi toute la polyvalence de l’actrice. Jusqu’ici, tout réussit très bien à la québécoise italienne, et avec les nombreux projets qui sont en train d’être développés, il est évident qu’Elisabetta est loin d’avoir fini de faire parler d’elle.
-
In the miX with - Guy Laliberté
Guy Laliberté est, comme vous le savez déjà, le fondateur du Cirque du Soleil, le premier cirque créé par un québécois et reconnu à travers le monde. Né à Québec, il a déménagé à Saint-Bruno encore enfant, suivant sa mère, plutôt artistique et son père, entrepreneur. Dès son adolescence, il s’intéresse à l’accordéon, à la danse folklorique, aux échasses et aux cracheurs de feu. Il part à Paris à 18 ans avec quelques dollars en poche et s’improvise amuseur public pendant plusieurs mois. En 1979, il revient à Baie-Saint-Paul, dans Charlevoix, où il fait la rencontre de Gilles Sainte-Croix, un échassier qui lui permet d’améliorer sa maîtrise des échasses, et où il croise le chemin d’un ami d’adolescence, Daniel Gauthier, qui possède naturellement un sens pointu des affaires. Il passe ensuite quelques hivers à amuser les foules sous le chaud soleil d’Hawaï, d’où le logo du Cirque. Avec l’aide de ses compagnons, il organise ensuite en 1982 la Fête foraine de Baie Saint-Paul, dont la popularité des spectacles de clôture a amené la formation du Cirque du Soleil en 1984. Il a ainsi contribué non seulement à faire rayonner le Québec, mais aussi à développer les arts du cirque comme une discipline artistique, en combinant l’art et l’acrobatie dans ses spectacles. Le Cirque a conquis les États-Unis en 1987, l’Europe en 1990 et le Japon en 1992, puis a signé pour dix ans, en 1993, le spectacle Mystère à Las Vegas. Guy Laliberté a reçu plusieurs prix, témoins de son immense talent d’entrepreneur et d’artiste soit, entre autres, l’Ordre national du Québec en 1997 et l’insigne de l’Ordre du Canada en 2004, les plus prestigieuses distinctions québécoises et canadiennes, et même un doctorat honorifique de l’Université Laval de Québec en 2008. Le Cirque du Soleil a toujours voulu laisser une empreinte sociale et, depuis ses débuts, s’est affirmé comme un agent de changement. L’installation de son siège social et la création de la TOHU, Cité des arts du cirque et de l’école nationale de cirque dans le quartier Saint-Michel, à Montréal, afin de favoriser la renaissance de ce milieu, la fondation du Cirque du Monde, un programme de formation artistique pour les jeunes défavorisés provenant des quatre coins de la planète et l’attribution annuelle d’1% de ses revenus à des programmes de démarche sociale et culturelle. Une des valeurs phares du Cirque est la conviction que chaque petit geste individuel peut faire une différence significative. Fondé il y a presque trente ans, le Cirque emploie aujourd’hui environ 4000 personnes d’une quarantaine de nationalités différentes.
Il y la Fondation One Drop, créée en 2007 par M. Laliberté et sa généreuse contribution initiale, qui est aussi dotée d’une mission humanitaire, soit sensibiliser la population à la problématique mondiale du manque d’eau et favoriser l’accès à l’eau potable aux plus démunis, telle que représentée par son slogan «L'eau pour tous, tous pour l'eau». Inspiré par l’eau et ayant grandi au pays de l’eau, c’est le rêveur en lui qui désire tous nous mobiliser pour changer le monde, témoin par ses spectacles de la force du collectif. Plutôt extravagant, Guy Laliberté est le premier à avoir eu l’idée originale d’effectuer une mission spatiale artistique et sociale en 2009, un périple vers la Station spatiale internationale à bord de la fusée russe Soyouz ! L’objectif à l’origine de cette idée était, par le biais de sa Fondation One Drop, d’attirer l’attention mondiale sur l’urgence du problème du manque d’eau planétaire, en lien avec l’exploration humaine spatiale.Guy Laliberté, la preuve vivante que de croire à ses rêves peut mener loin, aussi loin que dans l’espace!
Le Québec et ses réussites internationales, de merveilleuses histoires à découvrir !
-
In the miX with - Soia & Kyo
Depuis 2004, et depuis 2010 pour les hommes, les designers Ilan et Patrick Elfassy revitalisent le look hivernal montréalais en concevant des manteaux uniques en leur genre. Avec une signature empreinte d’authenticité et d’originalité, un style jeune et léger, qui attire immanquablement le regard, la compagnie à l’identité purement montréalaise, située rue Chabanel, prend la place qui lui revient. Après seulement trois ans d’existence, Soïa & Kyo a conçu le manteau pour femmes le plus vendu de l’année. Créée suite à la constatation que les gens soignent leur tenue, mais qu’ils se départissent dès que possible de leur manteau, presque par gêne, l’intention fut d’intégrer le manteau à une tenue vestimentaire recherchée. Selon Ilan, nous devrions tous être fiers de notre manteau puisque c’est la première pièce de notre look que les autres voient! M. Elfassy trouve aussi important de véhiculer un message intelligent et de démontrer une conscience environnementale, en utilisant des matières écologiques, comme les lainages et exclusivement de la fourrure synthétique, tout comme par la vente de leurs produits entre autres dans des boutiques indépendantes aux quatre coins de la planète. Il y aura même prochainement des housses recyclables remises avec chaque manteau et les clients pourront aussi choisir d’investir avec Soïa & Kyo pour planter un arbre lors de leurs achats en ligne, afin d'estomper l’empreinte écologique du transport du manteau acheté et d’éventuellement créer une forêt entière!
Un équilibre savamment étudié, au gramme près, entre plumes et duvet réconfortants, permettant une silhouette détaillée tout en solutionnant enfin le fameux débat chaleur versus style, des lainages confortables, des coupes innovantes et contemporaines, asymétrie et angles des fermetures, énormes boutons et cols distinctifs sont autant de témoignages d’une passion pour la mode partagée par les Elfassy. Soïa & Kyo est en effet le deuxième bébé de la reconnue famille, arrivée dans l’industrie avec Mackage en 1989. Contrairement à sa grande sœur, qui met l’accent sur le cuir et son attitude, Soïa & Kyo se concentre sur les détails et sur l’exploration des matériaux, des lignes et des coupes. Les manteaux contemporains et stylés sont donc une spécialité familiale! Tout comme Mackage, il sera éventuellement possible de trouver une collection de vêtements prêts-à-porter Soïa & Kyo pour hommes et femmes, attendue avec impatience! Le nom Soïa & Kyo, plutôt particulier, est pure invention. Selon Ilan Elfassy, Soïa renvoie à la graine de soya, soit le côté tendance végétarien et kyo signifie aujourd’hui en japonais, une culture pour laquelle Ilan a beaucoup d’admiration. Soïa & Kyo symbolise donc pour lui le début d’un projet différent et actuel, se distinguant de Mackage.
En attendant d’avoir trouvé le meilleur site pour ouvrir leur propre boutique, Soïa & Kyo prend part à la nouvelle tendance des «Pop Up Shop», comme celle de New York, une boutique temporaire ouverte quelques mois afin de pouvoir mettre à la disposition du public la totalité de leur collection. La famille Elfassy a pour objectif de devenir une grande maison de mode canadienne connue internationalement, ce qui semble être plutôt bien parti. Les fans de la mode sont satisfaits, tout comme les célébrités, car M. Elfassy assure un contrôle de sa production afin de conserver une certaine exclusivité dans les designs. Ainsi, il faut beaucoup de chance pour trouver un manteau Soïa & Kyo passé le mois de septembre! Il est aussi possible d’apercevoir dans un manteau Soïa & Kyo des personnalités québécoises telles que la comédienne Karine Vanasse, la chanteuse Pascale Picard ou l’animateur Sébastien Diaz, les populaires chanteuses canadiennes, Feist et Martha Wainwright, ou même le séduisant acteur américain Stephen Dorff!
Offrez-vous un style confortable en toutes occasions pour partir à la rencontre de l’imprévu, en portant une marque témoignant de la créativité montréalaise!
