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In the miX with - Guy Laliberté
Guy Laliberté est, comme vous le savez déjà, le fondateur du Cirque du Soleil, le premier cirque créé par un québécois et reconnu à travers le monde. Né à Québec, il a déménagé à Saint-Bruno encore enfant, suivant sa mère, plutôt artistique et son père, entrepreneur. Dès son adolescence, il s’intéresse à l’accordéon, à la danse folklorique, aux échasses et aux cracheurs de feu. Il part à Paris à 18 ans avec quelques dollars en poche et s’improvise amuseur public pendant plusieurs mois. En 1979, il revient à Baie-Saint-Paul, dans Charlevoix, où il fait la rencontre de Gilles Sainte-Croix, un échassier qui lui permet d’améliorer sa maîtrise des échasses, et où il croise le chemin d’un ami d’adolescence, Daniel Gauthier, qui possède naturellement un sens pointu des affaires. Il passe ensuite quelques hivers à amuser les foules sous le chaud soleil d’Hawaï, d’où le logo du Cirque. Avec l’aide de ses compagnons, il organise ensuite en 1982 la Fête foraine de Baie Saint-Paul, dont la popularité des spectacles de clôture a amené la formation du Cirque du Soleil en 1984. Il a ainsi contribué non seulement à faire rayonner le Québec, mais aussi à développer les arts du cirque comme une discipline artistique, en combinant l’art et l’acrobatie dans ses spectacles. Le Cirque a conquis les États-Unis en 1987, l’Europe en 1990 et le Japon en 1992, puis a signé pour dix ans, en 1993, le spectacle Mystère à Las Vegas. Guy Laliberté a reçu plusieurs prix, témoins de son immense talent d’entrepreneur et d’artiste soit, entre autres, l’Ordre national du Québec en 1997 et l’insigne de l’Ordre du Canada en 2004, les plus prestigieuses distinctions québécoises et canadiennes, et même un doctorat honorifique de l’Université Laval de Québec en 2008. Le Cirque du Soleil a toujours voulu laisser une empreinte sociale et, depuis ses débuts, s’est affirmé comme un agent de changement. L’installation de son siège social et la création de la TOHU, Cité des arts du cirque et de l’école nationale de cirque dans le quartier Saint-Michel, à Montréal, afin de favoriser la renaissance de ce milieu, la fondation du Cirque du Monde, un programme de formation artistique pour les jeunes défavorisés provenant des quatre coins de la planète et l’attribution annuelle d’1% de ses revenus à des programmes de démarche sociale et culturelle. Une des valeurs phares du Cirque est la conviction que chaque petit geste individuel peut faire une différence significative. Fondé il y a presque trente ans, le Cirque emploie aujourd’hui environ 4000 personnes d’une quarantaine de nationalités différentes.
Il y la Fondation One Drop, créée en 2007 par M. Laliberté et sa généreuse contribution initiale, qui est aussi dotée d’une mission humanitaire, soit sensibiliser la population à la problématique mondiale du manque d’eau et favoriser l’accès à l’eau potable aux plus démunis, telle que représentée par son slogan «L'eau pour tous, tous pour l'eau». Inspiré par l’eau et ayant grandi au pays de l’eau, c’est le rêveur en lui qui désire tous nous mobiliser pour changer le monde, témoin par ses spectacles de la force du collectif. Plutôt extravagant, Guy Laliberté est le premier à avoir eu l’idée originale d’effectuer une mission spatiale artistique et sociale en 2009, un périple vers la Station spatiale internationale à bord de la fusée russe Soyouz ! L’objectif à l’origine de cette idée était, par le biais de sa Fondation One Drop, d’attirer l’attention mondiale sur l’urgence du problème du manque d’eau planétaire, en lien avec l’exploration humaine spatiale.Guy Laliberté, la preuve vivante que de croire à ses rêves peut mener loin, aussi loin que dans l’espace!
Le Québec et ses réussites internationales, de merveilleuses histoires à découvrir !
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In the miX with - Soia & Kyo
Depuis 2004, et depuis 2010 pour les hommes, les designers Ilan et Patrick Elfassy revitalisent le look hivernal montréalais en concevant des manteaux uniques en leur genre. Avec une signature empreinte d’authenticité et d’originalité, un style jeune et léger, qui attire immanquablement le regard, la compagnie à l’identité purement montréalaise, située rue Chabanel, prend la place qui lui revient. Après seulement trois ans d’existence, Soïa & Kyo a conçu le manteau pour femmes le plus vendu de l’année. Créée suite à la constatation que les gens soignent leur tenue, mais qu’ils se départissent dès que possible de leur manteau, presque par gêne, l’intention fut d’intégrer le manteau à une tenue vestimentaire recherchée. Selon Ilan, nous devrions tous être fiers de notre manteau puisque c’est la première pièce de notre look que les autres voient! M. Elfassy trouve aussi important de véhiculer un message intelligent et de démontrer une conscience environnementale, en utilisant des matières écologiques, comme les lainages et exclusivement de la fourrure synthétique, tout comme par la vente de leurs produits entre autres dans des boutiques indépendantes aux quatre coins de la planète. Il y aura même prochainement des housses recyclables remises avec chaque manteau et les clients pourront aussi choisir d’investir avec Soïa & Kyo pour planter un arbre lors de leurs achats en ligne, afin d'estomper l’empreinte écologique du transport du manteau acheté et d’éventuellement créer une forêt entière!
Un équilibre savamment étudié, au gramme près, entre plumes et duvet réconfortants, permettant une silhouette détaillée tout en solutionnant enfin le fameux débat chaleur versus style, des lainages confortables, des coupes innovantes et contemporaines, asymétrie et angles des fermetures, énormes boutons et cols distinctifs sont autant de témoignages d’une passion pour la mode partagée par les Elfassy. Soïa & Kyo est en effet le deuxième bébé de la reconnue famille, arrivée dans l’industrie avec Mackage en 1989. Contrairement à sa grande sœur, qui met l’accent sur le cuir et son attitude, Soïa & Kyo se concentre sur les détails et sur l’exploration des matériaux, des lignes et des coupes. Les manteaux contemporains et stylés sont donc une spécialité familiale! Tout comme Mackage, il sera éventuellement possible de trouver une collection de vêtements prêts-à-porter Soïa & Kyo pour hommes et femmes, attendue avec impatience! Le nom Soïa & Kyo, plutôt particulier, est pure invention. Selon Ilan Elfassy, Soïa renvoie à la graine de soya, soit le côté tendance végétarien et kyo signifie aujourd’hui en japonais, une culture pour laquelle Ilan a beaucoup d’admiration. Soïa & Kyo symbolise donc pour lui le début d’un projet différent et actuel, se distinguant de Mackage.
En attendant d’avoir trouvé le meilleur site pour ouvrir leur propre boutique, Soïa & Kyo prend part à la nouvelle tendance des «Pop Up Shop», comme celle de New York, une boutique temporaire ouverte quelques mois afin de pouvoir mettre à la disposition du public la totalité de leur collection. La famille Elfassy a pour objectif de devenir une grande maison de mode canadienne connue internationalement, ce qui semble être plutôt bien parti. Les fans de la mode sont satisfaits, tout comme les célébrités, car M. Elfassy assure un contrôle de sa production afin de conserver une certaine exclusivité dans les designs. Ainsi, il faut beaucoup de chance pour trouver un manteau Soïa & Kyo passé le mois de septembre! Il est aussi possible d’apercevoir dans un manteau Soïa & Kyo des personnalités québécoises telles que la comédienne Karine Vanasse, la chanteuse Pascale Picard ou l’animateur Sébastien Diaz, les populaires chanteuses canadiennes, Feist et Martha Wainwright, ou même le séduisant acteur américain Stephen Dorff!
Offrez-vous un style confortable en toutes occasions pour partir à la rencontre de l’imprévu, en portant une marque témoignant de la créativité montréalaise!
